11/06/2009
Tel est pris...
Rappelez-moi, elle est de quelle origine, déjà Lilika ?
Cyclope, comme son père !
00:46 Publié dans Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : photo, saint-germain-en-laye, lilika
27/09/2006
Nains de jardin à Bagatelle
Quelle belle arrière saison ! Et idéaux, ces derniers rayons de soleil pour visiter le Parc de Bagatelle, niché au coeur du Bois de Boulogne.
A l'entrée, ce tout petit, mais très joli, château nous plonge en plein XVIIIè siècle, quand Marie-Antoinette défia le conte d'Artois, son beau frère, de remettre rapidement en état ce batiment qui tombait en ruines après avoir servi de pavillon libertin pendant le règne de Louis XV. L'endroit fut inauguré 74 jours plus tard par un jeune homme dont l'histoire ne dit pas précisément quelle fut sa récompense. En tout cas, le lieu garda longtemps sa galante réputation...
Autre charme de Bagatelle : ses fleurs, les meilleurs jardiniers n'ayant cessé de s'y succéder. On y voit les plus belles roses qui soient, mais aussi des asters, sorte de bouquets de très petites fleurs qui éclatent de couleurs aux multiples nuances, surtout à cette époque de l'année, entre la mi-septembre à la mi-novembre.
Enfin, ce parc possède quelques unes des plus belles pelouses de la capitale : on n'est pas pour rien dans un ancien domaine de la noblesse anglaise. De quoi gambader gaiement dans une herbe nettement moins fraiche qu'il n'y parait.
L'été, il y a souvent des concerts de musique classique, et le reste de l'année des expositions thématique. Comme celle-ci, dont la fibre est plutôt écolo : "Si tu es grand, tu vivras en laissant de l'espace énergétique vital à autrui" s'échine à brandir un minuscule Kirikou devant une toute aussi petite Lilika, épuisée et endormie.
01:30 Publié dans Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Bagatelle, Marie-Antoinette, Lilika
11/09/2006
C'était la vie de château
Le château d'Azay le rideau est aussi petit que charmant. On en a vite fait le tour : il n'y a que deux ou trois chambres. Et en visitant celle qui était réservée au Roi, on ne peut s'empêcher de penser aux week-end romantiques que devait s'offrir François 1er avec l'une ou l'autre de ses (nombreuses) conquêtes.
Celui de Chenonceau, qui enjambe le Cher avec beaucoup d'élégance, est intimement lié à une histoire de rivalité amoureuse : Henri II, fils de François 1er marié à Catherine de Médicis, en fit cadeau à sa favorite, la sublime Diane de Poitiers (déjà maîtresse de son père). A la mort accidentelle d'Henri lors d'un tournoi de chevaliers, Catherine exigea de récupérer le château qui, pourtant, avait largement prospéré grâce à Diane.
Le château d'Ussé est de moindre importance, mais il aurait, dit-on inspiré Charles Perrault pour écrire la Belle au bois dormant. Une histoire de princesse que les propriétaires du lieu - car il s'agit d'un château privé- exploitent habilement en reproduisant les scènes clés du conte avec des figures de cires.
Plus "masculine", peut-être, mais tout aussi passionnante, la visite de l'Abbaye royale de Fontevraud qui recèle rien de moins que le tombeau de Richard coeur de lion, héros de tellement de petits (et de grands) garçons.
Cela pour en venir à la "paternité", qui a repris le dessus une fois arrivés au bord de la mer, après une embardée au sud de la Loire.
L'Atlantique a cette propriété d'offrir de belles marées. Et de nous permettre de mettre en pratique ce que nous avions appris...
Sur la plage, il a fallu construire une vraie fortification pour repousser les assauts des flots déchaînés.
En vain, bien sûr : la mer est la plus forte, qui fait un peu peur, du moins la première fois qu'elle vous mouille les nougats. N'est-ce pas Lilika ?
22:15 Publié dans Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : château, Loire, Azay, Chenonceau, Ussé, Fontevraud, plage
15/03/2006
La culture par les racines
A tous ceux qui ont la gentillesse de s'arrêter ici sans me connaître ou qui n'ont jamais vu Lilika qu'en photo sur ce blog, je tiens à préciser que si nous évoquons souvent la culture japonaise dans ces pages, ce n'est pas un choix dicté par un quelconque penchant monomaniaque, mais simplement parce que la mère de Lilika étant japonaise, cette petite fille l'est aussi à moitié.

11:00 Publié dans Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (4)